25 janvier 2008

Lunapark : Atmosfear

Ce matin, en me réveillant, je me suis rendu compte à quel point Assassin's Creed me perturbe. J'ai dû lui consacrer au moins trois articles, et autant d'introductions, et à chaque fois que je refais le monde vidéoludique avec mon game designer de pote, ça se finit toujours en moi qui parle d'Assassin's Creed. La raison est simple : ils sont si près de la perfection. Je ne l'ai pas encore fini après au moins 20h de jeu (il me reste 3 assassinats), car j'ai passé beaucoup de temps à visiter l'énorme univers du jeu. J'aime bien me balader dans ce genre de bac à sable et je m'en suis donné à coeur joie dans AC jusqu'à l'écoeurement, au point que maintenant, quand je découvre une nouvelle portion, je vais directement au but sans prendre le temps de farfouiller en profondeur. Mais c'est avant tout le gameplay qui me déçoit à cause de sa répétitivité, et des enquêtes que l'on mène avant les assassinat qui ne servent à rien alors qu'il aurait été excellent de vraiment mener l'investigation, et de devoir potasser son action sous peine de se vautrer lamentablement. Et c'est ça qui me gêne dans AC : ils ont entre leurs mains un potentiel exceptionnel, et il ne l'ont exploité qu'à 50%. Mais après ce premier épisode qui a forgé le moteur (qui mérite encore quelques semaines de débug), le game design sera au coeur du deuxième volet, avant l'explosion de bénéfices pour Ubi sur le troisième tome. Et promis, je ne parlerai plus d'Assassin's Creed. Du 1, en tout cas... Bon, je retourne appuyer 16 fois sur l'interrupteur, avant de refaire le ménage (ça fait déjà deux heures que je l'ai fait).


Vous vous rappelez le premier Mario? Sacré jeu... J'allais y jouer chez mes voisins quand j'avais 6 ans.

Vous vous rappelez l'Eyetoy? C'était marrant... J'allais y jouer avec des potes quand j'avais 6 grammes dans le sang.

Et entre deux, il ne s'est rien passé. Rien à part que quelqu'un qui a décidé de mixer les deux pour obtenir une sorte de Mario psychadélique contrôlé à la main. Enfin, quand je dis une sorte de Mario, je parle évidemment d'une centaine de Mario.



Je ne sais malheureusement pas qui est à l'origine de ce projet, mais manipuler une nuée de Mario, c'est marrant. Enfin, je n'ai qu'une envie en voyant cela, c'est de les faire gicler partout sur l'écran. Faut bien compenser quelque part ses pulsions meurtrières. Autre part que dans Assassin's Creed.

Et merde, raté...

1 commentaire:

Anonyme a dit…

ahahahah.
Tes blagues me feront toujours golri.

(PS: Putain, Jo-Wilfried..)