Lunapark : Guinness

En ce moment, je suis impatient. Impatient parce que le mag pour lequel j'ai écrit devrait bientôt sortir, mais je ne sais pas encore quand, donc je suis dans l'expectative. Je suis un peu dans l'état d'un enfant qui a une boule au ventre avant d'aller à un goûter d'anniversaire un samedi après-midi, si vous voyez ce que je veux dire. Le seul problème est que je ne sais pas quel samedi après-midi a lieu la fête. Et d'ici quelques minutes, je vais faire mon tour dorénavant quotidien à la presse la plus proche pour guetter une fois de plus. Un peu comme un enfant, encore, mais cette fois devant le rayon des rasoirs, impatient d'avoir des poils pour se les couper (ce qui est con, soit dit en passant). Les enfants ont vraiment la vie dur...


Les jeux vidéo étaient à l'origine une affaire de highscores. Par une technique encore chevrotante, les jeux étaient bien loin des films interactifs actuelles, et c'est, après l'amusement, l'honneur et l'égo qui motivaient chaque partie. Ce loisir qui est né du désir de l'homme de toujours fixer des records se voit maintenant complété par son propre Guinness Book.

Vous pourrez voir sur le site une preview du livre, ainsi que poster vos propres performances, au cas où vous vous sentiriez l'âme d'un h4rDc0r3 (désolé, je ne parle pas le 1337 couramment) susceptible de calmer tout le monde.

Alors si vous n'en pouvez plus d'attendre pour savoir quel est le jeu à l'environnement le plus destructible, ou si vous êtes avide de savoir quel équipe de Counter Strike a gagné le plus d'argent, vous savez ce qu'il reste à faire.